Tandis que Rocard salue en Sarkozy « une droite réformatrice et intelligente » avec laquelle rechercher des « convergences » (!), plusieurs voix de gauche – Fabius, Hamon, Aubry, Mélenchon, et les leaders syndicaux – ont dénoncé la tromperie du récent discours de Toulon du président sur « cette crise, fin d’un monde », en soulignant qu’il applique assidument le contraire de ce qu’il vient d'afficher.