La crise va continuer. Et même s’aggraver. C’est notre pronostic depuis plusieurs mois. Mais plusieurs événements récents en apportent une nouvelle confirmation.
La situation des droits de l'homme reste " dramatique " en Chine. "
Les manuels scolaires, les journaux, tout ressemble à ce que l'on
trouve dans le roman 1984 - de George Orwell - " (Zeng Jinyan)
Malgré le calamiteux congrès de Reims, et la séquence d'autodestruction qui s'est ensuivie, le Parti socialiste conserve toutes ses chances de s'imposer comme le parti leader de la gauche dans le système politique bipolaire de la Ve République.
Tribune d'Henri Weber, député européen socialiste, parue dans Le Monde du 8 décembre 2008
Le Conseil national des socialistes s'est doté, le 6 décembre, d'une nouvelle direction, composée de 38 secrétaires nationaux (voir la liste sur le site du Ps, en lien ci-dessous). La feuille de route du parti pour les trois années à venir a été adoptée par 146 voix (72 abstentions). "Je souhaite que, dès lundi, pas un socialiste ne manque aux Français" a annoncé à la tribune Martine Aubry rappelant que Nicolas Sarkozy "ne propose pas une vision et un projet à notre société" mais "impose la loi du plus fort, le règne de l'argent et l'individualisme".
Samedi 13 décembre à partir de 14 h du métro Duroc au ministère du Logement, la CGT, la CFDT, FO, la CFE-CGC, l’AFOC, la CLCV, la CNL et la CSF appellent à une manifestation nationale pour « garantir le droit au logement pour tous ». Contre la la "loi Boutin" en débat à l'Assemblée le 15 décembre, ces organisations exigent de l’Etat une politique du logement et des moyens financiers à la hauteur de l’urgence. Téléchargement Tract_logement
Tu as souhaité connaître ma décision quant à mon appartenance au Conseil national du Parti Communiste à l’issue du 34e congrès.Aujourd’hui, à la veille du congrès, je veux t’annoncer ma décision de quitter le Conseil national du parti.
Le besoin d’Europe est redevenu impérieux. Il avait cessé de l’être après la disparition de l’Union soviétique et le triomphe de l’idéologie néolibérale. Dans un monde qu’ils croyaient durablement prospère et pacifié, les dirigeants européens s’employaient, sur le plan économique à faire respecter la stabilité monétaire et la «concurrence libre et non faussée» ; sur le plan géopolitique à exercer le «soft power» (diplomatie, négociations), en complément du «hard power» (guerres préventives ou punitives), confié à «l’hyperpuissance» américaine. Les optimistes parlaient de la «fin de l’histoire», les pessimistes du «choc des civilisations» (...)
Tribune d'HenriWeber, député socialiste européen (Libération 1er décembre 2008)
Le Mouvement Républicain et Citoyen invite, sur ce thème, à une réunion publique avec chercheurs (Sapir, Hillebrand, Gréau) et responsables politiques (Lienemann, Hamon, Chevènement). Entrée libre.
Jeudi 4 décembre 2008 entre 18h30 et 21h Salle Paul Delouvrier - Conseil Régional d'Ile-de-France 33, boulevard des Invalides, Paris
Paul Quilès, ancien ministre et l'un des animateurs du courant "C" de Benoît Hamon, analyse les causes du spectacle de division donné par les socialistes, après le scrutin pour le 1er secrétariat. Ce qui vient de se produire au PS est détestable, mais peu surprenant pour qui suit l’évolution de ses modes de fonctionnement depuis une quinzaine d’années.
Voir aussi les propositions faites pour une rénovation utile du PS sur le blog de Paul Quilès
Arrivée
première, avec 29 % des voix, Mme Royal estime avoir la légitimité pour diriger le Ps. Si Benoît
Hamon (qui en a recueilli 19 %) ne parvenait pas à s'imposer comme leader de rechange, Martine
Aubry, qui revendique "une position centrale" au PS et a réuni 25 % des voix, apparaîtrait la
mieux placée pour contrer Ségolène Royal