"Rénovation ", " reconstruction ", " refondation " : au Parti socialiste, depuis la défaite présidentielle, chacun se pose en architecte. Qu’il faille un leader rassembleur et sérieux, c’est entendu. Que le PS soit plus qu’une machine électorale, c’est souhaitable. Qu’il occupe tout le champ de la gauche, des anti-libéraux aux sociaux-démocrates, sans être l’otage des gauchistes et la béquille des centristes, c’est recommandé. Reste le hic principal : pourquoi peine-t-il à convaincre depuis qu’on l’a vu à l’oeuvre ?
Parution en librairie : Septembre 2007 [ Voir la rubrique A Lire ]