Priorité à gauche

Henri Weber : le fond de l'air est rose

Le député européen PS réfute l'idée d'un basculement de notre pays à droite. Les enquêtes d'opinion montrent que les Français sont attachés à la solidarité sociale et à l'économie mixte, régulées par l'Etat et par la négociation. Tribune parue une première fois dans Libération le 17 avril. Blog de l'auteur :  http://www.henri-weber.fr/

Sarkozy "bonnet d'âne" d'une association anti-corruption

Nicolas Sarkozy a hérité du "bonnet d'âne" de l'association Anticor, qui remettait mercredi son prix spécial présidentielles 2007  -  Reuters, Mercredi 4 avril 2007.

L'association, qui regroupe "des élus de toutes tendances politiques décidés à combattre la corruption et à réhabiliter la politique", a adressé à l'ensemble des candidats un questionnaire sur leurs objectifs en la matière.

Marc Dolez : Battre la droite pour mieux refonder la gauche

Déclaration du député socialiste du Nord.
Avec environ 35% des intentions de vote au premier tour, son plus bas niveau depuis 1969, la gauche est en passe, une fois encore, de perdre l'élection présidentielle. Et pourtant elle devrait s'imposer sans coup férir, au regard du rejet massif de la politique de la droite, à plusieurs reprises depuis 2002, tant dans les urnes que dans la rue.

Pétition antidémagogie fiscale : les réponses des candidats

Les réponses des candidats à l’élection présidentielle à notre pétition sur la progressivité de l’impôt opposent nettement la droite et la gauche.

Près de 40 000 personnes auront finalement signé la pétition contre la démagogie fiscale lancée par Alternatives Economiques le 6 février dernier, avec le soutien du quotidien Libération (1). Nous avons transmis cette interpellation aux différents candidats en leur demandant de préciser leur position en matière de progressivité de l’impôt.

Bayrou, l'iPod du champ politique français

Le candidat centriste, figure de l'apolitisme en sphère marchande par Christophe Gallaz dans Libération.fr du mardi 27 mars 2007.

La popularité de François Bayrou, candidat néocentriste à l'élection présidentielle, ne désigne pas seulement le fantasme de l'apolitisme qui règne de nos jours au sein de la nation française (comme dans toute autre population d'Occident «fatiguée d'être»).

Les engagements de Ségolène Royal

•     Le Pacte Présidentiel de Ségolène Royal :
•     Téléchargement Pactepresidentiel.pdf
•     Le financement du pacte présidentiel :
•     Téléchargement financement_pacte_presidentiel.pdf

Centrer la campagne sur l'économique et le social

Laurent Fabius a estimé mardi matin que les Français n'allaient pas "déterminer" pour qui ils allaient voter à la présidentielle en fonction de l'identité nationale, mais plutôt en fonction de leurs préoccupations économiques et sociales.

Les candidats Verts aux municipales 2008 à Paris

Le 25 mars, les Verts de Paris ont arrêté leurs axes de campagne municipale pour 2008 «Mieux vivre à Paris et sauver la planète» et leurs candidats à l'élection. Désigné tête de liste parisienne, Denis Baupin a réuni 93 % des suffrages (7 % de nuls). Le 1er tour avait donné un peu moins de 50% pour Baupin, suivi de 29% pour Véronique Dubarry et 19%  pour Pénélope Komites. Dans la liste, une mauvaise surprise : la mise à l'écart d'Anne Le Strat, actuelle conseillère de Paris du 18e. Voir l'ensemble des candidats dans "Lire la suite"

Les artifices du marketing sarkozien, par Jean Mouchon

Pour "Priorité à gauche", Jean Mouchon, socialiste de Paris 12e et professeur à Paris-X Nanterre, constate que la rigueur des faits et la cohérence des arguments n'embarrassent ni le candidat de l'UMP, ni une certaine gent journalistique qui orchestre la campagne. Pourtant, quand on détourne ou efface le sens des choses, à la manière de la pub, c'est la crédibilité de la politique qui en souffre.

Non, la gauche n'est pas morte ! Guillaume Bachelay

Par Guillaume Bachelay, membre du Conseil national du PS : Si on en croit les sondages, l'étiage électoral de la gauche serait au plus bas. Ce qui n'est à ce stade qu'une prédiction –faut-il rappeler que les Français n'ont pas encore voté ?–  a un double impact. Sur nombre d'électeurs, la nouvelle fait l'effet d'un uppercut.